La parole est à l'allocataire
Nous avons rencontré Mme A. lors d'un entretien qu'elle a eu avec l'accompagnatrice chargée de son suivi dans ses démarches d'emploi.
Elle est âgée de 56 ans - elle en paraît presque dix de plus- et possède une expérience professionnelle de plus de 20 ans en tant qu'aide à domicile auprès des particuliers. Veuve depuis l'été 2010 suite au décès de son époux d'un cancer particulièrement long, invalidant et agressif, elle s'est résolue à demander le RSA, en complément de ses ASSEDIC. C'est en sa qualité de "bénéficiaire du RSA" qu'elle est tenue de se rendre à ces entretiens dits "de suivi".
L'objet de l'entretien est, cette fois-là, de faire un retour sur l'Evaluation en Milieu de Travail (il s'agit, en fait, d'un travail non-rémunéré pour l'employeur qui y recourt) d'une semaine que Mme A. a effectuée dans une maison de retraite près de chez elle. Ce stage était pour elle l'occasion d'exercer pour la première fois dans une structure collective.
Elle est âgée de 56 ans - elle en paraît presque dix de plus- et possède une expérience professionnelle de plus de 20 ans en tant qu'aide à domicile auprès des particuliers. Veuve depuis l'été 2010 suite au décès de son époux d'un cancer particulièrement long, invalidant et agressif, elle s'est résolue à demander le RSA, en complément de ses ASSEDIC. C'est en sa qualité de "bénéficiaire du RSA" qu'elle est tenue de se rendre à ces entretiens dits "de suivi".
L'objet de l'entretien est, cette fois-là, de faire un retour sur l'Evaluation en Milieu de Travail (il s'agit, en fait, d'un travail non-rémunéré pour l'employeur qui y recourt) d'une semaine que Mme A. a effectuée dans une maison de retraite près de chez elle. Ce stage était pour elle l'occasion d'exercer pour la première fois dans une structure collective.